Des scientifiques et des experts juridiques américains ont demandé la création d’une autorité internationale « forte » chargée de réguler les éventuelles interventions humaines sur le climat pour combattre le « réchauffement climatique », arguant que ces techniques pourraient être dommageables pour l’environnement.
Dans cette histoire de serpent qui se mord la queue, on croit connaître au moins l’une des retombées : davantage de régulation internationale.