Cela s’appelle Mpox en franglais global mais c’est toujours, sous une autre variété (« clade »), la variole du singe qui a frappé en 2022 32.000 personnes, en tuant 58, selon le centre de détection et de prévention des maladies des Etats-Unis. La maladie se transmettait alors principalement par acte sexuel entre deux hommes homosexuels, elle nécessite toujours un contact très proche pour être contagieuse. Elle est moins dangereuse que la variole tout court et n’est létale qu’en cas de forte immunodépression, par exemple à cause du SIDA. Elle est en gros circonscrite au centre de l’Afrique autour de la République démocratique du Congo où elle a été découverte. Malgré tout cela, l’OMS, soucieuse de créer des menaces globales artificielles sur la santé publique, a décrété le 14 août dernier une « urgence de santé publique de portée internationale », qui est son niveau le plus élevé d’alerte sanitaire, sous prétexte que quelques cas détectés en Thaïlande et en Suède révéleraient une « menace croissante ». Et elle met en branle son plan de lutte contre ce danger imaginaire. Elle a pour cela déterminé des zones d’expansion de la variole du singe (en gros, l’Afrique équatoriale et le reste du monde, où le risque serait « modéré » et limité au « clade 2b », celui qui se transmet par la sodomie). Mais cela ne l’empêche pas de commencer des « efforts stratégiques de vaccination », avec pour objectif de « faciliter l’accès au vaccin » dans les pays à faible ou moyen revenu. Pour anticiper la « demande » de vaccins, l’OMS recommande de « changer d’échelle dans la production et la distribution ». Elle recommande aussi de doper la recherche de nouveaux vaccins, y compris à ARN messager. En somme, de parfaites grandes manœuvres mondialistes, combinant un gigantesque exercice d’ingénierie sociale animé par la peur, une « recherche » sans limite sur l’organisme humain, la satisfaction des intérêts financiers des entreprises qui collaborent, et la satisfaction du lobby homosexualiste.