Le bureau du Haut-commissaire aux droits de l’homme estime que le projet de loi pourrait perpétuer les mesures d’urgence provisoire mise en place en 2015 au détriment des libertés civiles.
Les experts de l’ONU disent redouter que les pouvoirs donnés aux autorités pourraient être utilisés de manière « arbitraire » avec des effets « intrusifs et discriminatoires » pour la population musulmane en France.
L’information est évidemment reprise par la presse arabe…