Alors que les forces mondialistes et les institutions internationales qu’elles contrôlent se préparent officiellement à piller les richesses de l’humanité, des groupes qui prétendent représenter la « société civile » du Tiers-monde viennent de réclamer la mise en place d’une autorité fiscale mondiale sous l’égide de l’ONU. Officiellement, ces pays du Tiers-Monde veulent ainsi s’assurer de toucher une « part équitable » du butin volé aux entreprises et contribuables occidentaux. Mais ce sont les intérêts des mondialistes favorables à un régime fiscal mondial qu’ils servent.
En effet, cette proposition ne vient pas uniquement du Tiers-Monde : les mondialistes la renouvellent depuis des années. La coalition qui réclame la mise en place de ce régime fiscal mondial regroupe 130 gouvernements du G77, qui demandaient récemment la mise en place d’un « nouvel ordre mondial pour bien vivre», avec le soutien de plusieurs groupes d’activistes financés par l’Union européenne ou des milliardaires mondialistes comme Bill Gates.
Les mondialistes s’opposent encore sur la stratégie, mais tous souhaitent un régime fiscal mondial
Au dernier sommet de l’ONU tenu en Ethiopie, l’idée de la création d’une agence fiscale de l’ONU a rencontré une vive opposition, non sur le principe mais sur les modalités. Les opposants se battaient pour que l’argent racketté à l’humanité chaque année serve plutôt à renforcer d’autres agences mondialistes comme Organisation pour le développement et la coopération économique (OCDE), qui imposerait elle-même ce régime fiscal mondial à l’humanité…
Une chose est donc sûre : tous les mondialistes du globe s’accordent sur l’idée d’une taxe mondiale, contraire à l’indépendance financière et à la souveraineté nationale de tous les pays concernés.
La création d’une agence fiscale mondiale n’a donc pas été adoptée lors du dernier sommet, mais l’idée d’une taxation mondiale ne cesse de progresser.
En attendant le régime fiscal mondial, l’ONU aide le Tiers-Monde à avoir une fiscalité plus efficace
Ceux qui le réclamaient en Ethiopie ont réussi à créer le groupe des « inspecteurs fiscaux sans frontière » tandis que d’autres délégués récemment réunis en conférence à Addis Abeba ont approuvé la création d’un comité d’expert en fiscalité, qui se rencontrera désormais deux fois par an.
Le premier groupe est issu d’un partenariat entre le programme de développement de l’ONU et l’OCDE : concrètement, il consiste à envoyer des « experts » fiscaux occidentaux aux pays du Tiers-Monde, afin de les aider à mettre en place des systèmes fiscaux plus efficaces pour leur permettre, à terme, de contrôler toutes les activités des particuliers et des entreprises.
Une fois les systèmes fiscaux uniformisés, il sera facile de les unifier et d’obliger finalement les contribuables du monde entier à payer directement leurs impôts aux Nations unies…
L’ONU est déjà hors de contrôle dans de très nombreux dossiers. Imaginons donc le désastre lorsqu’elle aura une source de revenus indépendante !