Après un premier trimestre morose compliqué par la froidure, et une croissance de 0,6 %, le retour du beau temps a apporté avec lui de meilleurs chiffres : 3,7 % au lieu des 2,3 % escomptés. L’économie américaine a bénéficié d’une plus forte consommation intérieure et les exportations ont repris 5,2 % au lieu des 6 % de contraction au premier trimestre. Le mieux devait accélérer la remontée des taux de la Fed mais les turbulences boursières pourraient retarder l’opération, selon des analystes.