La moitié d’entre elles serait concernée par de nouvelles techniques d’édition génétique développées au MIT et à Harvard qui permettent d’intervenir sur une seule lettre du code génétique.
La technique fonctionne sur les cellules vivantes, reste maintenant à trouver comment les utiliser sur des patients de manière sûre et efficace en vue d’inverser des mutations responsables de plus de 15.000 maladies génétiques, telles la fibrose cystique ou la maladie de Duchenne.
Cette nouvelle version de la technique CRISPR peut être appliquée aussi bien au code génétique qu’à l’ARN qui transmet les messages génétiques en vue de la production de protéines.