Que Sarang, Sarang !

sarang

Le lobby gay en fait une jaunisse : en Corée du Sud, l’Institut de la langue coréenne, l’équivalent de notre Académie française, a modifié l’une des définition de son grand dictionnaire en ligne. « Sarang » est désormais défini comme un attachement à sa famille, son pays, ses amis – et comme un « sentiment d’affection entre un homme et une femme. » En français on traduit sarang par amour, et cet amour était présenté depuis 2012 comme un « sentiment d’affection entre deux personnes », sans que le sexe n’en soit précisé, mode homo oblige. Le président de l’Académie nationale de la langue lui-même, Min Hyun-sik, serait intervenu pour rétablir la bonne définition : en Corée, chrétiens, confucéens et grammairiens sont d’accord. Même sollicitée par les sondeurs, même préparée à longueur de soirée par les films et les séries LGBT, la population refuse à 61 % l’idée d’un « mariage » homosexuel·