L’OIIQ, ordre des infirmières et infirmiers du Québec, vient d’annoncer une nouvelle qui fait sa « grande fierté » : « Le 10 avril sera désormais reconnu comme la Journée de l’infirmière autochtone. » L’idée est d’offrir « des soins infirmiers exempts de discrimination et pleinement adaptés aux réalités culturelles ».
« Faire de la sécurisation culturelle une habitude », telle est l’idée de l’OIIQ. « Nous rendons hommage aux infirmières et infirmiers autochtones qui soignent avec compétence et humanité, tout en soulignant leur contribution essentielle à la profession et à la santé de nos communautés », lit-on dans le communiqué de l’ordre.
Telle est la marche du monde : au prétexte d’égalité, on discrimine. Ces « infirmières et infirmiers autochtones » ont sûrement beaucoup de mérite, mais leur ascendance n’en est certainement pas un dans leur métier. Prétendre le contraire n’est rien d’autre que du racisme.