François Fillon a prononcé ces mots hier en meeting, dans un développement qui condamnait ensemble et sans ambiguïté « tous les racismes », le totalitarisme islamique et l’antisémitisme : cela n’empêche pas notre confrère de voir en ces paroles la preuve que le candidat de la droite et du centre est un fils adultérin de « Coppé » et de « Sarkozy », un neveu radicalisé de « Patrick Buisson » et « Jean-Marie Le Pen ». Constater une réalité sociale est devenu un crime aux yeux des bien-pensants.