Négocié au niveau des ministères de la culture, l’accord vise à mettre en commun la recherche industrielle et universitaire, et aura pour point d’orgue cette année une conférence dont les deux pays assureront l’organisation, avec l’objectif d’encourager les investissements transmanche.
Selon la presse britannique, la France tente ainsi de récupérer les investissements dans les domaines de pointe, qui favorisent actuellement le Royaume-Uni où les règles d’établissement et les contraintes sociales sont nettement plus légères.
Les deux pays souhaitent également offrir une réelle concurrence face aux géants de la Silicon Valley, invoquant l’excellence mathématique des universités britanniques et françaises (mais dans un contexte de chute du niveau…) qui représentent un avantage dans le domaine de l’intelligence artificielle en particulier.