Au festival de Glastonbury, le rappeur Bobby Vylan a harangué la foule avec ce slogan : « Mort, mort à Tsahal ! » Des propos diffusés en direct à la BBC qui ont indigné dans le pays et au-delà.

Si le ministre de la Santé, Wes Streeting, s’est indigné de propos « affreux », il a appelé l’ambassade israélienne qui dénonçait « la rhétorique de haine et incendiaire » à « balayer devant sa porte » et « à prendre davantage au sérieux la violence de ses propres citoyens contre la Palestine ».

De nombreux observateurs ont comparé cette affaire à celle de Lucy Connolly qui, voilà quelques mois, s’était indignée sur X, par des propos certes violents et dépassant sa pensée, des viols et meurtres commis au Royaume-Uni par des populations allogènes. Si elle est en prison, que fait Bobby Vylan en liberté, lui qui profère des propos bien plus graves ?