Un malade souffrant d’une dégénérescence des muscles aux Pays-Bas a demandé l’euthanasie couplée avec le prélèvement de ses organes vitaux, et il en a parlé peu avant d’être mis en morceaux.
Le reportage sur Peter Veen a été diffusé le soir de son enterrement. Interrogé « quelques jours auparavant », il se félicite de pouvoir « laisser quelque chose de sa vie qui ait de la valeur ».
Dès que sa maladie avait été diagnostiquée, il y a trois ans – avec une espérance de vie maximale de cinq ans, Veen avait pris la décision de demander l’euthanasie… utile. « C’est important pour moi », explique-t-il – lui qui n’a aucun espoir peut en donner à d’autres.
Et c’est ainsi, qu’à coups d’images, on construit une fausse morale et une fausse charité.