Son but ? Leur épargner la dangereuse traversée de la Méditerranée et alléger la pression sur les pays riverains comme la Grèce et l’Italie.
Comme pour l’avortement clandestin, il s’agit de légaliser la procédure pour éviter un certain nombre de tragédies. C’est sur place qu’on ira chercher les « personnes vulnérables », spécialement en Libye, en Égypte, au Niger, au Soudan, au Tchad et en Ethiopie.
L’initiative pourra compter sur un budget 500 millions d’euros (ce qui fait tout de même 10.000 euros par tête de migrant installé dans l’UE) sur la période de deux ans de sa mise en œuvre.
Les candidats au voyage vers l’El Dorado européen sont avertis !