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Une universitaire féministe US parle de tuer et castrer les mâles blancs diplômés, sa fac la défend

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Carol C. Fair, professeur à l’université de Georgetown n’aime pas Kavanaugh ni ceux qui le défendent. Elle appelle par tweet à tuer et castrer les mâles blancs diplômés. Et le mieux est que sa fac la défend au nom de la liberté d’expression US.
 
Carol C. Fair est connue pour sa haine de Trump et ses tweets qui manquent parfois de fair play. A l’une de ses anciennes collègues universitaires, Asra Nomani, qui reconnaĂ®t voter pour Donald Trump, elle a envoyĂ© ce message : « Je vous ai Ă©crit comme Ă  un ĂŞtre humain. Votre vote a contribuĂ© Ă  normaliser le nazisme Ă  Washington. Qu’est-ce que vous ne comprenez pas, ignorante imbĂ©cile ? Â» En guise de formule de politesse, elle termine par : « Allez vous faire f.. en enfer Â».
 

Tuer, castrer les mâles blancs diplômés, et donner leur sexe aux cochons

 
La nomination de Kavanaugh n’a pas arrangĂ© le caractère de cette fĂ©ministe US qui revendique un apostolat Ă  la pitbull, et c’est donc le cĹ“ur tranquille qu’elle a tweetĂ© : « Voyez ce chĹ“ur de mâles blancs diplĂ´mĂ©s en train de justifier la nomination d’un violeur en sĂ©rie. Ils mĂ©ritent une mort misĂ©rable pendant que les fĂ©ministes riront quand ils rendront leur dernier soupir Â». Et d’ajouter : « Bonus, nous châtrerons leur cadavres pour les donner aux cochons? Oui. Â»
 
Sans doute est-ce du deuxième degrĂ© si cher aux universitaires de progrès. Et sans doute cette fĂ©ministe de choc, devant le tollĂ© que son tweet a provoquĂ©, a-t-elle expliquĂ© qu’elle n’a « jamais approuvĂ© Â» la violence mais que son tweet visait Ă  mettre le lecteur « aussi mal Ă  l’aise Â» qu’elle l’est elle-mĂŞme en utilisant le langage des agressions qu’elle « reçoit par centaines Â».
 

La Fac défend l’universitaire au nom de la liberté d’expression US

 
En somme, cet animal n’est pas mĂ©chant, quand on l’attaque il se dĂ©fend en tuant les mâles blancs diplĂ´mĂ©s, puis les castre. Bonus, comme elle dit, ses copains de la fac la dĂ©fendent. Le porte-parole de l’universitĂ© estime que « Les opinions de membres de la facultĂ© exprimĂ©es en privĂ© sont les leurs, non celles de l’UniversitĂ©. Nous n’interdisons pas un discours Ă  cause de la personne qui le tient ni sur le contenu de ces idĂ©es, mĂŞmes si elles peuvent ĂŞtre difficiles, controversĂ©s ou discutables Â». Et il appelle, dans les amphis Ă  un « dialogue serrĂ© et respectueux Â».
 

Une féministe a plus droit à la liberté d’expression que Trump

 
LĂ  encore, on comprend, on pourrait comprendre cette ode US Ă  la libertĂ© d’expression. Mais ce sont les mĂŞmes qui parlent « d’offense Â» Ă  tout bout de champ et mĂ©nagent des « espaces sĂ©curisĂ©s Â» oĂą les « minoritĂ©s Â» se trouvent Ă  l’abri de toute controverse. Montreraient-ils une pareille clĂ©mence universitaire Ă  un prof homophobe, machiste, raciste, antisĂ©mite, ou simplement Ă  quelqu’un qui dirait : « L’homosexualitĂ© est une abomination Â», ou, « Les immigrĂ©s dehors Â», ou, « Les chambres Ă  gaz sont un dĂ©tail de l’histoire Â» ? Non, bien sĂ»r. De sorte que la libertĂ© d’expression universitaire ne fonctionne qu’au profit des fĂ©minises adversaires de Trump.
 

Pauline Mille