C’est une question qui est restée en suspens depuis les injections tous azimuts des vaccins à ARNm, dès les premiers mois de « la crise sanitaire » : ce geste médical, ou du moins déclaré comme tel, a-t-il un effet sur la fertilité des femmes ? Parce que, oui, une baisse des taux de natalité a été signalée dans de nombreux pays à la suite de la « pandémie » de Covid-19 et beaucoup l’ont liée à l’instabilité économique et aux confinements répétés. Mais aucune étude n’a jamais émis l’hypothèse d’un lien avec le vaccin… jusqu’à celle qui vient d’être publiée !
Basée sur les données de la République tchèque, elle a pu mettre en lumière que parmi environ 1,3 million de femmes âgées de 18 à 39 ans, celles vaccinées contre le covid-19 ont eu environ 33 % de grossesses réussies de moins que les femmes non vaccinées.
Un pavé dans la mare du discours rassurant et sécuritaire du complexe médico-industriel dont on nous rebat les oreilles depuis cinq ans. S’il y a des limites et des précautions d’analyse dans les conclusions de l’équipe dirigée par le médecin danois Vibeke Manniche, elle montre clairement le haut d’un iceberg dont on n’imagine pas encore la taille.
Les vaccins à ARNm contre le covid-19 sont une arme contre la fécondité
Pour justifier la baisse du taux de natalité, on avait assuré aussi que les femmes reportaient leur « projet bébé » pour après la vaccination (qui a mis du temps à se mettre en place), ou a contrario que certaines le retardaient parce qu’elles étaient inquiètes des effets indésirables potentiels. Et puis on avait toujours certifié que les vaccins contre le Covid-19 étaient sûrs pendant la grossesse, et n’avaient pas d’effet appréciable sur la fertilité humaine.
Que nenni. Le simple fait de savoir qu’il y avait des effets indésirables bien documentés sur les caractéristiques menstruelles (douleurs, flux menstruel et durée du cycle) aurait pu suggérer d’emblée que la vaccination contre le covid-19 pouvait influencer la fécondabilité, c’est-à-dire la probabilité d’obtenir une conception réussie au cours d’un seul cycle menstruel. Mais rien n’a été fait, ni en amont, sur les essais randomisés de pré-autorisation des vaccins contre le Covid-19, ni en aval.
Or, à présent, les chiffres parlent. Pour le média en ligne Focal Points : « Les campagnes d’injection massive d’ARNm alimentent probablement l’effondrement mondial de la fertilité. »
Un manque de fertilité avéré chez les vaccinées
Pour cette étude, publiée sur le serveur de prépublications de Preprints.org, la République tchèque a fourni le cadre idéal, étant l’un des rares pays où des données nationales sur les naissances sont disponibles pour les femmes vaccinées ou non contre le covid-19. Environ 70 % des femmes y étaient vaccinées à la fin 2021 (principalement par Pfizer/Comirnaty et Moderna).
Se concentrant sur la période de janvier 2021 à décembre 2023, période où l’indice de fécondité a chuté drastiquement de plus de 20 %, l’étude a montré que les femmes vaccinées avant la conception présentaient des taux de fécondité systématiquement inférieurs à ceux des femmes non vaccinées. Que les taux de fécondité des femmes vaccinées étaient disproportionnellement faibles par rapport à leur part dans la population totale : en juin 2021, par exemple, 39 % des femmes étaient vaccinées, mais elles ne représentaient que 7 % des fécondités.
Tout au long de l’année 2022, les taux de fécondité des femmes non vaccinées étaient environ 1,5 fois supérieurs à ceux des femmes vaccinées. Autrement dit, les conceptions réussies des femmes vaccinées étaient inférieures d’environ 33 % à celles des femmes non vaccinées en 2022.
Une étude l’avait déjà suggéré en 2022 : chez les femmes vaccinées, la production persistante de la protéine Spike et la présence d’ARNm vaccinal de longue durée, voire rétrotranscrit dans les organes reproducteurs (lorsque le rétrovirus s’introduit dans les gènes de la cellule hôte et y prolifère), compromettent donc probablement les taux de conception.
Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président et responsable scientifique de Pfizer pour les allergies et les maladies respiratoires, avait lui-même précisé lors d’une interview que nous avions évoquée ici, que « les agents ARNm ont été formulés au sein de nanoparticules lipidiques, dont on sait depuis 2012 qu’elles peuvent s’accumuler dans certaines viscères, notamment les ovaires. Des impacts négatifs sur la fertilité étaient donc également quasiment assurés ».
Une tromperie à l’échelle mondiale
Comme une impression de s’être fait rouler dans la farine… Alors que dans le monde entier, les taux de fécondité s’effondrent et que la fertilité est en décroissance continue en raison de multiples facteurs, tant biologiques qu’environnementaux (perturbateurs endocriniens) ou sociétaux (recul de la maternité), on a injecté à des centaines de millions de femmes de quoi amplifier ce phénomène.
Sans s’en douter ? Le fait est que, même pour les femmes déjà enceintes pour lesquelles on certifiait que la vaccination n’apporterait aucun effet indésirable, on découvre des réalités de plus en plus moroses.
En février dernier, une étude américaine a identifié des signaux d’alerte graves pour 37 événements indésirables consécutifs à la vaccination contre le Covid-19 chez les femmes enceintes, comme les fausses couches, les mortinaissances, les décès prématurés, les arrêts cardiaques fœtaux, la détresse respiratoire néonatale, les malformations fœtales, et bien d’autres. Elle a appelé à un moratoire mondial immédiat sur la vaccination contre le Covid-19 pendant la grossesse.
Une autre étude, parue seulement en mars, dans la revue Science, Public Health Policy and the Law, a confirmé que les injections intramusculaires d’ARNm traversent le placenta en une heure, s’accumulent dans les organes fœtaux, sont traduites en protéine Spike et persistent dans les tissus fœtaux après la naissance.
Si on a si peu de souci de l’enfant à naître, comment en aurait-on de celui qui pourrait naître ? Il y a quinze jours encore, lors de l’édition 2025 de la Semaine européenne de la vaccination, la Haute Autorité de santé (HAS) mettait en avant l’importance de la vaccination pendant la grossesse, y compris celle contre le covid-19. La menterie continue de plus belle.