Le plus grand vaccinologue admet qu’il n’y a jamais eu d’études complètes sur la sécurité des vaccins

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Les études scientifiques sur la moindre, voire la non efficacité des vaccins contre le COVID se sont multipliées depuis l’épidémie, dans des revues ou médias prestigieux tels que The Lancet Regional Health ou l’Open Forum Infectious Diseases. Certains n’hésitent même pas à parler d’efficacité « négative », car les innombrables effets secondaires indésirables se prouvent les uns derrière les autres et les procès ont lieu, comme au Kansas, il y a quelques semaines. Mais cette dynamique va aujourd’hui encore plus loin : elle est parvenue à semer le doute sur la sécurité de la vaccination en tant que telle. Y a-t-il réellement des données de sécurité à court et à long terme ?

Un grand article publié le 6 juillet dans la revue The New England Journal of medicine tente de répondre à cette question, quoiqu’avec mauvaise foi puisque les auteurs en sont le plus grand vaccinologue mondial, le Dr Stanley Plotkin, et ses disciples, tous fervents défenseurs du principe. Sans reconnaître qu’ils ont menti pendant des décennies, ils admettent néanmoins, presque malgré eux, que les études démontrant que les vaccins sont sûrs n’existent tout simplement pas.

Il semble que l’ère covid ait permis, au final, davantage de transparence…

 

Non, les vaccins ne sont pas le produit le plus étudié jamais réalisé

C’est l’avocat américain des droits civils, Aaron Siri, qui s’en réjouit sur son blog :

« Il est étonnant qu’après des décennies pendant lesquelles ils ont insisté sur le fait que les vaccins sont les produits les plus étudiés de la planète, le Dr Stanley Plotkin et ses disciples vaccinologues viennent d’écrire un article avouant exactement le contraire. Ils viennent de reconnaître que les vaccins ne sont pas correctement étudiés, ni avant ni après l’homologation. Ils ont admis, par exemple, que “les essais cliniques préalables à l’autorisation comportent des tailles d’échantillon [et] des durées de suivi limitées” et qu’“aucune ressource n’est réservée aux études de sécurité post-autorisation”. »

Ils ne battent pas leur coulpe, loin de là. C’est une parade contrainte, dans le but de protéger les produits qu’ils ont passé leur carrière à défendre et à vénérer et qui leur ont apporté gloire et richesse, nous avertit Siri.

Car, même si leur article admet que les études n’ont pas été réalisées, ils écrivent du même souffle que les dommages graves causés par les vaccins sont « rares ». Ils ne s’attardent pas sur la montagne d’études et de données déjà existantes qui montrent clairement les graves dangers des vaccins, notamment en raison des adjuvants. Et ils se payent le luxe de vouloir attaquer le fonds fédéral d’indemnisation des dommages causés par les vaccins.

 

Les études sur les effets secondaires des vaccins n’ont jamais été entendues

Qu’écrivent les grands chantres de la vaccination ?

« [L]’hésitation généralisée à l’égard de la vaccination observée pendant la pandémie de covid-19 suggère que le public n’est plus satisfait de l’objectif traditionnel de sécurité consistant simplement à détecter et quantifier les risques associés après l’autorisation d’utilisation d’un vaccin. (…) Des études post-autorisation sont nécessaires pour caractériser pleinement le profil d’innocuité d’un nouveau vaccin, car les essais cliniques préalables à l’homologation ont des tailles d’échantillon limitées, des durées de suivi et présentent une hétérogénéité de la population. »

Comme le montre bien l’ICAN (Informed Consent Action Network), un des principaux groupes anti-vaccination aux Etats-Unis, les essais cliniques sur lesquels repose l’homologation des vaccins infantiles n’ont pratiquement jamais de contrôle placebo, n’examinent généralement la sécurité de l’injection que pendant quelques jours ou quelques semaines après administration, et comptent souvent trop peu de participants pour mesurer quoi que ce soit.

« Il est essentiel d’examiner les événements indésirables suivant la vaccination (ESSI) qui n’ont pas été détectés dans les essais cliniques, afin de déterminer s’ils sont liés de manière causale ou par coïncidence à la vaccination », affirme l’étude récemment publiée. Ils avouent donc qu’ils ne le faisaient pas avant, s’étonne Aaron Siri.

« Lorsqu’ils sont provoqués par des vaccins (effets indésirables des vaccins), le risque imputable à la vaccination et le mécanisme biologique doivent être vérifiés. Cette science devient la base pour développer des vaccins plus sûrs, si possible, et pour déterminer les contre-indications à la vaccination et l’indemnisation qui devrait être offerte en cas de MAPI » (manifestation post vaccinale indésirable), poursuit l’article. Faut-il en déduire que ce n’était pas non plus le cas jusqu’ici ?

 

L’absence de sécurité « a nui à l’acceptation du vaccin » : faut-il s’en étonner ?

Il apparaît clairement que les auteurs se soucient moins de la sécurité des vaccins que de la confiance des vaccinés : « Les progrès de la science de la sécurité des vaccins ont naturellement été lents – souvent en fonction de preuves épidémiologiques retardées ou insuffisantes pour étayer les conclusions causales et d’une compréhension incomplète des mécanismes biologiques – ce qui a nui à l’acceptation du vaccin. »

Pendant des décennies, ils ont religieusement ignoré les personnes qui le réclamaient. Et aujourd’hui, il soutiennent sans sourciller qu’« identifier les mécanismes biologiques des effets indésirables – comment et chez qui ils se produisent – est essentiel pour développer des vaccins plus sûrs, prévenir les effets indésirables en élargissant les contre-indications et indemniser équitablement les vaccinés pour les véritables effets indésirables »…

Enfin, ils reconnaissent le droit intangible d’avoir connaissance de ce qui nous est injecté : « Le public souhaite également [maintenant] que les autorités de santé publique atténuent et préviennent les événements indésirables rares mais graves – qui ne semblent plus rares lorsque les vaccins sont administrés à des millions ou des milliards de personnes. » De fait, ils ne sont donc jamais rares…

Mais alors pourquoi, se demande Aaron Siri, Plotkin n’examinerait-il pas toutes les données et études concrètes qui existent sur ce sujet ? Malgré cette pseudo repentance, leur objectif est malheureusement toujours le même : contre-attaquer, pour éviter surtout une réduction de la vaccination.

 

Le soutien aveugle et déterminé au lobby de la vaccination

Stanley Plotkin est un vieil adversaire pour Aaron Siri. En 2018, il avait dû répondre aux accusations de ce dernier qui représentait un groupe de scientifiques et de chercheurs médicaux (Public Health and Medical Professionals for Transparency) cherchant à obliger la FDA à publier des centaines de milliers de documents liés à la licence du vaccin Pfizer-BioNTech covid-19.

Au cours de cette déposition, Plotkin avait fait un certain nombre d’aveux concernant les essais cliniques de vaccins et les lacunes dans les données de sécurité liées aux vaccins. Mais les seules préconisations qui en étaient sorties, quatre mois plus tard, de sa propre bouche, furent de mieux organiser le camp pro-vaccination « pour riposter » ! En particulier : « faire pression sur la Fondation Gates pour qu’elle soutienne les organisations et les réunions pro-vaccins sur la sécurité des vaccins » et avertir de la menace de groupes tels que l’ICAN, car « leur accès au système judiciaire constitue un danger clair et présent »…

Rappelons que, dans cette même déposition, ainsi que l’écrivait Jeanne Smits, Plotkin avait publiquement affirmé que seuls deux avortements étaient impliqués dans la création des lignées cellulaires utilisées dans les vaccins contre le cobvid alors qu’il avait utilisé 74 autres fœtus avortés dans ses propres expériences.

En tout état de cause, cet article publié dans The New England Journal of medicine montre que si tout a été entrepris depuis l’épidémie pour délégitimer ces avertissements inquiets que le gouvernement fédéral qualifiait de « désinformation nuisible », il y a un moment où l’on est tellement acculé à la vérité qu’il faut bien s’en accommoder – d’une manière ou d’une autre.

 

Clémentine Jallais