Le vainqueur de boxe féminine aux JO était bien un boxeur

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Dès le début du mois d’août, RiTV avait montré à la fois combien les affirmations de la fédération de boxe qui avait exclu Imane Khelif pour le mondial de 2023 semblaient fondées, et combien au contraire le CIO, qui l’a admis et sacré à Paris cet été, paraissait léger et de mauvaise foi. Mais un doute pouvait subsister dans l’esprit des plus crédules. Aujourd’hui, si les informations citées par Breitbart s’avèrent (et la plainte portée par Khelif contre les « fuites » à l’origine de l’info le laisse prévoir), c’est confirmé : la championne était bien comme nous l’écrivions un champion, non seulement parce que des tests chromosomiques le prouvent, mais parce qu’un dossier plus complet aurait été établi par la Pitié-Salpêtrière à Paris où il avait consulté. Non seulement il a des chromosomes XY mais des testicules internes et un micropénis. La méprise de sa famille, qui l’a élevé d’abord en petite fille, tiendrait à une maladie rare qui donne aux organes sexuels du bébé l’aspect d’un vagin. A la puberté, les caractères mâles s’affirment, pas de poitrine, poils, masse musculaire, ni utérus ni menstrues bien sûr, et les testicules internes et le micropénis cités plus haut. Thomas Bach, le controversé patron du CIO pris dans une affaire de conflits d’intérêts, a montré son manque de scrupules dans le cas Khélif afin de poursuivre la politique de confusion des genres dans le sport, lancée avec le cas Semenya, ce coureur cubain « championne olympique » alors que lui aussi est XY, et porteur de testicules internes.