Par divers moyens, juridiques, commerciaux, matériels, qui s’inscrivent peu à peu dans le quotidien des Français, sans faire de bruit l’islamisation et la charia, conséquences de l’immigration de masse, progressent en France. En voici deux exemples dans l’actualité de la semaine, qui bien sûr n’épuisent pas le sujet. Après une nouvelle tentative de viol dans le RER C en octobre, une habitante du Val-d’Oise, qui signe Marie, a lancé une pétition réclamant des « wagons réservés aux femmes et aux enfants » dans les transports d’île de France. Sous couleur de sécurité, ce serait les hommes séparés des femmes, et cet apartheid sexuel est l’une des plus fortes demandes de l’islam traditionnel face à la laïcité. Autre nouvelle, qui concerne la restauration cette fois : la chaîne américaine Five Guys vient d’annoncer que six de ses établissements en France vont servir désormais de la viande de bœuf halal et supprimer l’alcool de la carte. Sous couleur « d’élargir sa clientèle », cette décision se calque en fait sur les attentes et la pratique de la communauté musulmane.
Contre la peur des femmes dans les transports, un wagon spécial ?
Près de quinze mille personnes ont déjà signé la pétition lancée par Marie sur change.org. On peut y lire : « Les femmes ne se sentent pas en sécurité dans les transports d’Ile-de-France. » Elle a raison. Une étude de l’Observatoire national des violences faites aux femmes publiée en mars révèle que 56 % des femmes interrogées ne se sentent pas rassurées sur le réseau ferré francilien. Elle demande en conséquence de « lancer un projet pilote de wagons réservés aux femmes et aux enfants sur les lignes RER et Transilien », avec « une signalétique claire et visible pour identifier ces wagons » ainsi qu’un renforcement de la surveillance dans ces zones spécifiques. Cela n’a rien à proprement parler de révolutionnaire. L’Inde a utilisé ce type de wagons depuis les années 1950, le Japon au début des années 2000, suivi par Mexico en 2008 et la Malaisie en 2010. L’Allemagne, l’Autriche, la Suisse proposent des compartiments réservés aux femmes dans certains trains régionaux ou de nuit ; Dubaï et le Royaume-Uni aussi. Mais le problème des trains indiens dans les années 1950 n’est pas celui de la France de 2025. L’insécurité y résulte aujourd’hui de nombreux facteurs dont une mauvaise politique d’immigration qui amène dans les transports des individus dont les comportements, en matière sexuelle sont particuliers. Certains internautes estiment que « le problème n’a rien à voir avec les personnes racisées, mais avec les hommes en général ». Les statistiques de la criminalité dans les transports leur donnent tort : en dehors de toute question de race, les étrangers mal adaptés à la société française sont surreprésentés dans la criminalité en général et celle des transports en particulier.
Faire le lit de la charia par peur de l’immigration ?
Quoi qu’il en soit, Ile-de-France Mobilités refuse pour l’instant a solution proposée par la pétition de Marie, et elle a raison, car les crimes et délits de certains ne doivent pas conduire à renforcer leur pouvoir en organisant la ségrégation sexuelle dans les transports. C’est pourquoi IDFM préfère améliorer la surveillance : davantage de caméras (il y en a déjà 80.000), des trains « boas » à soufflets ouverts entre les wagons pour éviter l’isolement, un numéro d’urgence (le 3117) et des bornes d’appel. Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France, s’est déclarée favorable dimanche sur X à l’utilisation de « vidéo-protection algorithmique, augmentée par l’IA », rapporte Le Figaro. En insistant sur le caractère dissuasif des caméras : elles « ne sont pas juste là pour retrouver les agresseurs, elles sont là pour empêcher les crimes ». Les exemples européens et japonais montrent cependant que le danger de céder à la facilité pour répondre à la peur des femmes est réel. Le paradoxe serait évidemment d’instrumentaliser cette peur justifiée au profit d’une « civilisation » hostile aux femmes.
Fast food sans alcool avec du bœuf halal
Autre exemple de progression à bas bruit de la charia, la restauration. La chaîne américaine Five Guys gère une trentaine de restaurants en France. Un cinquième d’entre eux a connu un changement radical en octobre. Six établissements, Lyon Part-Dieu, Paris Place de Clichy, Rosny-sous-Bois, Créteil, Marseille Vieux-port et Lille rue de Béthune, servent désormais de la viande de bœuf certifiée halal, et ont retiré l’alcool de leur carte – même la bière. Five Guys en a informé sa clientèle sur son site sous la rubrique Information Halal. Bizarrement, elle continue à servir des burgers au bacon, « cuit sur une plaque dédiée et manipulé avec des ustensiles différents afin d’éviter tout risque de contamination croisée ». D’autre part, Five Guys tient à préciser : « Tous nos autres restaurants en France ne sont pas certifiés halal et ne servent pas de la viande de bœuf halal. » Comme s’il s’agissait de rassurer la clientèle. Certains internautes dénoncent d’ailleurs un « communautarisme grandissant ». En réponse, la direction invoque un argument économique, elle veut diversifier sa clientèle et « proposer burgers et frites au plus grand nombre ». En précisant : « Nous suivons les mêmes standards afin d’élaborer nos délicieux burgers et hot dogs. »
L’Occident vend à la charia la corde pour le pendre sans bruit
C’est un fait que Five Guys augmente ses profits. Mais cela signifie seulement que la clientèle musulmane est nombreuse et qu’il s’agit de la séduire. On verrait mal, sinon, à quoi servirait à l’enseigne de supprimer la bière dans ces six restaurants ! Sur ce point, McDonald’s France saisit l’occasion de se démarquer en déclarant : « Nous n’avons pas vocation à intégrer d’offres communautaires au sein de la gamme et veillons à demeurer universellement accessibles à toutes et à tous. » C’est logique : on n’élargit pas sa clientèle en imposant des restrictions communautaires. En revanche, on peut fidéliser une clientèle en se soumettant à ses normes communautaires. C’est ce qu’a déjà fait Quick qui a étendu le halal, bœuf compris, à l’ensemble de ses restaurants en France, « ce qui a permis de relancer la chaîne ». Elle est entièrement dépendante de la charia et de ceux qui la suivent, désormais. Autre exemple de « diversité » : Wingstop, fraîchement arrivée des Etats-Unis, propose uniquement du poulet halal dans son restaurant parisien du quartier Bastille. On peut donner dans le fast food et être très soigneux sur le rituel de la charia : l’animal halal est obligatoirement conscient lorsqu’on l’égorge, la tête tournée vers la Mecque. Mahomet n’osait pas l’espérer mais Lénine l’avait presque prévu : l’Occident tend à l’islam la corde pour le pendre. La peur, ici, l’intérêt commercial, là, contribuent à ancrer dans la société française, sans bruit, l’islam et sa loi, la charia.











