Un autre mensonge du réchauffisme qui annonçait la disparition de l’ours polaire… il se multiplie !

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C’est le dernier épisode en date de la série noire du réchauffisme, sortie par les vendeurs de frissons du New York Times, du gauchiste Guardian ou du très lacrymal National Geographic : le mignon, duveteux et immaculé ours polaire serait promis à une disparition certaine à cause du climat. Et, comme il se doit, le mensonge est répété sans la moindre vérification par tout ce que la médiacratie dominante compte de perroquets.
 
Pourtant, rectifie le site The New American, Ursus Maritimus, qui est la mascotte vache à lait du WWF, de Greenpeace et autres exploitants de la filière verte, ne court aucun danger d’extinction. Au contraire, il se multiplie à qui mieux mieux. C’est ce qu’affirme la très sérieuse Judith A. Crockford, qui dirige le site de sciences polaires polarbearscience.com. « Plus les ours polaires meurent nombreux plus les activistes – dont le message est amplifié par le mégaphone médiatique – crient à leur disparition prochaine », s’amuse-t-elle, le syllogisme étant évidemment faux. Judith Crockford, professeur de zoologie à l’Université de Victoria en Colombie Britannique, l’une des références en matière d’ours polaires, se bat depuis des années contre ces théories faussement scientifiques. Elle a ainsi relevé qu’en 2007, « les biologistes de l’US Geological Survey (USGS) avait soutenu sans la moindre réserve que lorsque la surface de banquise serait réduite à son niveau actuel, les deux-tiers des ours polaires auraient disparu ». Et que dix des dix-neuf groupes de population répertoriés seraient rayés de la surface du Pôle.
 

La disparition de l’ours polaire confirmée par des morts de plus en plus nombreuses !

 
Or qu’advint-il, dix ans après cette projection apocalyptique ? « Eh bien, on dénombre de très nombreux ours polaires, et pas seulement des animaux qui se battent pour survivre à leur mort prochaine, mais des bêtes en bonne santé, réparties un peu partout sur la zone arctique, en particulier dans les régions que l’USGS avaient répertoriées comme les plus difficiles pour l’ours – la Baie d’Hudson occidentale (Canada), les mers de Chukchi et Beaufort Sud (Alaska) et la mer de Barents (Norvège) ».
 
On en conclut donc aisément que les experts ont eu tort. Le scientisme triomphant doit en rabattre : la nature est plus puissante que ses modèles mathématiques supposés infaillibles. Les ours polaires n’ont pas disparu en raison de l’évolution climatique : ils se sont multipliés !
 

Encore un mensonge du réchauffisme, démonté par l’ours polaire qui se multiplie

 
Evidemment, n’attendez pas le moindre rectificatif du New York Times, du Guardian, du National Geographic et des sous-officines « d’information » qui recyclent tout ce qui peut faire peur au chaland. La pensée unique réchauffiste tient à son dogme : l’adorable créature polaire ne peut que disparaître, comme tant d’autres espèces anéanties par le « réchauffement » d’origine forcément humaine. Parce que tout ce qui est, tout ce qui évolue, tout ce qui se manifeste en ce monde est forcément humain puisque dans la pensée moderne l’homme est tout, tout-puissant, alpha et oméga, non plus créature mais créateur. Entre l’homme et Dieu, il n’y a que l’orgueil.
 

Matthieu Lenoir