Au Royaume-Uni, les jeunes filles qui refusent le vaccin HPV victimes de pressions et d’intimidation de la part des infirmières scolaires

refus vaccin HPV pressions intimidation infirmières scolaires Royaume Uni
 
Une association internationale de défense de la santé naturelle, l’ANHI (Alliance for National Health International) vient de mettre en garde les parents britanniques contre la manière dont les infirmières scolaires tentent d’imposer la vaccination très controversée contre le papillomavirus humain à des adolescentes qui ont choisi de le refuser, même au mépris de la volonté expresse de leurs parents. Le vaccin HPV, supposé prévenir le cancer du col de l’utérus, mais dont l’efficacité est contestée alors que ses effets secondaires sont régulièrement dénoncés, ne figure pas parmi les injections obligatoires au Royaume-Uni.
 
Ces pressions, affirme l’ANHI, s’exerce de manière particulièrement déloyale dans la mesure où elle pousse des mineures à aller contre la volonté de leurs parents ou de leurs responsables légaux et à se faire vacciner malgré le refus de ces derniers.
 

Le vaccin HPV n’est pas obligatoire au Royaume-Uni

 
L’association propose une lettre type aux parents pour affirmer clairement leur refus du vaccin, expliquant qu’ils ont parlé avec leur enfant du vaccin, et à faire signer conjointement par les parents et leur fille adolescente, avec copie à leur conseil juridique. Selon l’ANHI, les jeunes filles risquent à défaut d’être soumises à des interrogatoires indus pour expliquer les raisons de leur refus lors des campagnes de vaccination à la rentrée, en vue de les faire changer d’avis.
 
A l’heure actuelle au Royaume-Uni, toutes les jeunes filles âgées de 12 à 15 ans se voient proposer le vaccin dans le cadre scolaire.
 
Il faut savoir que le papillomavirus humain se transmet par voie sexuelle et que par conséquent, sa transmission est facilitée par les rapports sexuels précoces et surtout par la multiplicité des partenaires. L’abstinence et la fidélité constituent à ce titre une bien meilleure prévention contre les cancers qui lui sont associés qu’un vaccin qui ne correspond qu’à une partie des formes du virus HPV. On a même pu dénoncer le vaccin comme une sorte d’assurance-libertinage fournie délibérément à des jeunes filles qui ont avant tout besoin d’éducation.
 

Le refus du Gardasil entraîne pressions et intimidations au mépris des droits des parents

 
Les effets secondaires du vaccin connu sous le nom commercial de Gardasil sont systématiquement contestés par les autorités sanitaires mondiales, et notamment par l’Organisation mondiale de la santé, le Régulateur européen des médicaments et bien d’autres institutions nationales.
 
Le Daily Mail de Londres cite plusieurs études attestant de l’innocuité du vaccin, mais donne également la parole à des jeunes filles et à leurs parents qui sont persuadés que de graves problèmes de santé parus chez les jeunes vaccinés dans la foulée de l’injection lui sont directement liés. L’Agence européenne du médicament avait d’ailleurs enregistré à la date de février 2017 pas moins de 11.867 signalement de réaction au Gardasil, parmi lesquels de nombreux syndromes de fatigue chronique, quelques cas de paralysie et des morts.
 

Infirmières scolaires, médias, OMS : tous continuent de proclamer l’innocuité du vaccin HPV

 
Certaines « lanceuses d’alerte » ont rencontré la franche hostilité des médias.
 
Le Daily Mail signale le cas de la jeune Ruby Shallom, vaccinée en 2014 est victime, depuis lors, d’une paralysie progressive de trois de ses membres dans lesquels elle n’a désormais plus aucune sensation. Trop faible pour se lever, incontinente, elle n’arrive même pas à manger seule. Les médecins, incapables de fournir un diagnostic, ont fini par déclarer que sa maladie et son handicap sont « psychologiques » et qu’ils n’ont en tout cas rien à voir avec la piqûre de Gardasil.
 
La jeune Zara Beattie, 13 ans, jadis très sportive, a quant à elle commencé à présenter des symptômes d’essoufflement à l’effort peu après sa vaccination. Pensant d’abord à l’asthme, la famille de la jeune fille a vu son état se dégrader rapidement au point que Zara ne peut plus se lever sans éprouver d’importants vertiges et ne circule plus qu’en fauteuil roulant.
 

Anne Dolhein