Dans un article donné au grand journal allemand Die Welt, le milliardaire George Soros, l’homme des Rothschild, conseille à l’Europe d’encourager l’immigration de masse. En empruntant 30 milliards par an pour la financer. Une escroquerie démographique et financière digne de la pyramide de Ponzi.
Soros pose dans Die Welt sept piliers de la « sagesse » mondialiste : le « Brexit est une catastrophe », les « mouvements nationalistes et xénophobes » menacent l’Allemagne, la France et les Pays-Bas, le corps de garde-frontières de l’UE est un moyen de contenir leur croissance parmi les peuples d’Europe « aliénés » et « effrayés ». Etant donné le vieillissement des populations en Europe l’immigration de masse « allège considérablement les problèmes qui s’y trouvent associés. » Etc., etc.
Un emprunt pour financer la mort de l’Europe
C’est pourquoi il est urgent selon lui que l’Europe accueille « un nombre considérable » de nouveaux migrants « dans l’ordre et la sécurité ». A cet effet, l’UE doit selon Soros dépenser « au moins 30 milliards par an » pour encourager l’immigration de non-Européens. Et puisqu’elle ne les a pas, le conseil du magnat idéologue est simple : « Faites un emprunt », auprès de ses maîtres de la haute finance internationale !
Un conseil évidemment mortel, puisque l’endettement de l’Europe est, avec l’ouverture des frontières qui lui est liée, le principal frein à la croissance de son économie. Et toutes les études indiquent que l’immigration de masse, loin de représenter une aubaine ou une solution, est un poids terrible pour les finances publiques des pays d’Europe. En Angleterre, il coûterait 16 milliards par an au Trésor, et, selon le livre de Le Gallou, Immigration, la catastrophe, que faire ?, beaucoup plus au Trésor français. Les 30 milliards de Soros ne seraient qu’une goutte supplémentaire dans l’océan des gaspillages publics que l’Europe déverse déjà pour se suicider.
Pour quelques milliards de plus, une catastrophe durable
Pire, le temps ne fait rien à l’affaire, et les efforts des pays d’Europe pour accueillir l’immigration de masse ne résolvent même pas à terme les problèmes sociaux qu’elle pose. Ainsi, aux Pays-Bas, 65 % des immigrés qui sont arrivés dans les années 90 vivent toujours des aides d’Etat, c’est-à-dire de la charité publique (et forcée) des Néerlandais de souche.
Quant à l’argument selon lequel l’immigration de masse remédierait à la déficience démographique de l’Europe, il est réfuté hautement par Joseph Chamie, directeur de recherche au centre des Etudes sur les migrations. Ce n’est pas n’importe qui, puisqu’il a dirigé pendant douze ans la division des populations à l’ONU. Pour lui les populations vieillissantes de l’Europe devraient s’inquiéter de l’immigration de masse : elle augmente les profits des multinationales au détriment de la qualité de la vie en Europe et de l’environnement. Sans doute cette immigration de masse stimule-t-elle la demande, la consommation, l’emprunt, donc les profits, mais ce n’est pas un modèle durable.
Soros, Ponzi et l’escroquerie de l’immigration de masse
Il écrit : « Quand la bulle va éclater à la fin et l’économie sombrer, il y aura une spirale descendante avec un chômage de masse, des salaires en chute libre, les revenus de même, le grand nombre submergé par la dette, des familles à la rue – hommes, femmes et enfants dépendants de l’assistance publique ».
Un tableau qu’il éclaire de trois mots : « Pyramide de Ponzi ». Les habitués des scandales financiers se rappellent que c’est le nom savant de « la cavalerie » : on paye les échéances dues avec l’argent qu’on emprunte aux dupes auxquelles on fait miroiter des revenus mirifiques. Tant que la confiance est là, la chose peut durer, puis tout s’écroule d’un coup. C’est ce qui est arrivé, par exemple, voilà quelques années, au fameux Robert Madoff.
La comparaison de Joseph Chamie met sous son vrai jour l’escroquerie intellectuelle et morale que constitue l’immigration de masse. L’importation massive de populations est présentée par les escrocs tels Soros comme la solution de problèmes économiques et sociaux qu’elle ne fait que reporter et aggraver, à l’image de la pyramide de Ponzi. Pendant qu’elle enrichit colossalement les prêteurs internationaux, elle opère le grand remplacement des populations. La haute finance travaille de concert avec la maçonnerie.