Dimanche lors du Regina Caeli (qu’il a de nouveau chanté en latin), le pape a rappelé que l’on célébrait samedi la fête de Marie, Auxilium christianorum dont Benoît XVI a voulu qu’elle devienne une « Journée de prière pour l’Eglise en Chine » :
« Dans les églises et les sanctuaires de Chine et du monde entier, des prières ont été élevées vers Dieu en signe de sollicitude et d’affection pour les catholiques chinois et de leur communion avec l’Eglise universelle. Que l’intercession de la Très Sainte Vierge Marie leur obtienne, ainsi qu’à nous, la grâce d’être des témoins forts et joyeux de l’Evangile, même au milieu des épreuves, afin de toujours promouvoir la paix et l’harmonie. »
C’est la première fois que Léon XIV évoque la question chinoise, sur laquelle il est très attendu alors que son prédécesseur a promu des accords qui ont favorisé l’Eglise officielle sous contrôle communiste en lâchant l’Eglise catholique clandestine.
Plusieurs nominations d’évêques ont déjà eu lieu sans l’accord de Rome.