L’adrénaline injectée aux victimes d’arrêt cardiaque pourrait bien ne servir à rien, et, pire, causer de graves lésions au cerveau. Un test dans diverses régions britanniques verra les urgentistes équipés à l’aveugle de piqûres d’adrénaline et de piqûres placebo pour permettre à l’université de Warwick d’en savoir plus. Les patients potentiels devront avoir fait une déclaration volontaire préalable pour ne pas participer à cette campagne.