Les « smart meters » se répandent en Amérique du Nord. On vante leurs qualités pour réduire les gaspillages, éviter incendies et explosions. Mais beaucoup craignent qu’ils ne servent en réalité, à terme, à réduire de force la consommation des clients pour satisfaire les exigences du « développement durable », ou mieux soutenable, édictées par l’ONU. Selon Tom Deveese, patron de l’American Policy Center, une organisation conservatrice, ces compteurs intelligents (ou communiquants) sont conçus pour fournir le gouvernement en informations précises sur votre consommation d’énergie, vos mouvements dans la maison, la façon dont vous utilisez vos loisirs, et même combien vous êtes, à tout moment. » En somme, une intrusion contraire au quatrième amendement de la Constitution américaine ?