Puis la proportion décroît. Telle est la constatation faite par une étude de la Northwestern university, aux Etats-Unis, et publiée dans les Proceedings of National Academy of Science. Selon ses auteurs, cela expliquerait à la fois la croissance et l’évolution du cerveau dans la petite enfance, et la croissance relativement faible du reste du corps, qui reprend ensuite pour s’accélérer à la puberté. Cela causerait la dépendance plus longue du petit d’homme à ses parents et son intelligence plus grande. Et, en passant, cela donnerait une base expérimentale à la notion traditionnelle d’âge de raison.