L’histoire abominable des 1.400 fillettes violées par un gang de 1997 à 2013 à Rotherham, en Angleterre, a fini par sortir dans les journaux récemment.
L’horreur était connue, mais les autorités se taisaient.
Ces fillettes avaient été attirées par des hommes plus âgés qu’elles, musulmans, et s’étaient laissé faire sous la menace – et la pression de l’idéologie multiculturaliste qui rend taboue toute critique contre les « communautés ethniques ». Une idéologie qui a bâillonné les autorités qui ont eu peur d’être taxées de racisme.
Peter McLoughlin, travaillant au sein de la Fondation pour la loi et la liberté, vient de publier un livre Easy Meat: Multiculturalism, Islam and Child Sex Slavery expliquant que le phénomène était dénoncé depuis longtemps et que cette « découverte » de Rotherham n’est que la partie cachée de l’iceberg : des rapports rédigés par des policiers à la retraite affirment que le trafic à commencé dans les années 1970, et que 10.000 fillettes en auraient été victimes…
Le silence des professionnels de l’enfance
McLouhlin détaille le cas d’un rapport remis au parlement en 2013, une fois de plus minimisé.
Ce rapport affirme que ce qui avait été découvert à Rotherham se produisait probablement dans tout le pays, dans chacune de ses villes. Partant du fait que la majorité des bourreaux étaient musulmans, le rapport suggérait même que les seules villes non touchées devaient être celles sans mosquée.
Pour illustrer le pouvoir de nuisance du multiculturalisme, McLoughlin rapporte l’expérience du journaliste Andrew Norfolk qui avait mené une étude sur la traite sexuelle des blanches par les musulmans. Il avait beau être un journaliste du respectable Times, aucun professionnel de l’enfance n’a pris contact avec lui. « Il y avait des fonctionnaires qui n’auraient jamais parlé du problème du viol d’enfant ou de prostitution alors même qu’ils savaient que cela durait depuis des années. Ils n’étaient pas des violeurs. Ils n’étaient pas payés par les criminels. Mais le politiquement correct et le multiculturalisme leur imposaient de se taire sur ces crimes abominables, sans se soucier du fait que ces gangs demeurent intouchables ».
Tous savaient, tous se taisaient
Pourtant, lorsque ce journaliste avait présenté son analyse devant le parlement en 2011 et affirmant que les musulmans étaient surreprésentés parmi les violeurs d’enfants, de très nombreuses personnes l’ont remercié d’avoir parlé : « Le directeur du Service de l’Enfance (l’a appelé) pour dire : “Mon personnel a sauté de joie parce que quelqu’un a finalement dit ce que nous nous sentions incapables de dire.” »
Mais McLoughlin en profite pour dénoncer un autre effet du multiculturalisme : rendre les enfants aveugles en face du danger : « La police et les autorités locales ont choisi de garder les parents dans l’ignorance, en laissant ces fillettes sans protection et leurs parents inconscients des risques que prenaient leur filles. »
Résultat ? « Une jeune fille se considère elle-même raciste en refusant les avances d’un musulman ».
Sa condamnation du multiculturalisme et de ses conséquences est sans appel : « Il y a eu une pression constante pour supprimer tout signe de conflit entre la culture autochtone et les cultures opposées de certaines minorités. Dans un contexte de suppression de l’information et d’inaction envers ces gangs, des milliers de fillettes innocentes ont eu leur vie ruinée (…) parce que la classe moyenne, l’élite monoculturelle ne voulait pas considérer l’idée gênante selon laquelle certaines cultures pensent l’esclavage légitime, et qu’une relation sexuelle entre un homme de 50 ans et une fillette de 9 ans est un acte de piété. »
Il conclut : « Les vies de ces jeunes filles ont été sacrifiées pour repousser le moment ou le projet de multiculturalisme devra être reconnu comme un échec retentissant. »