Le juge américain a refusé de donner raison aux investisseurs qui se plaignaient de ce que la quasi-totalité des bénéfices engrangés par les sociétés de refinancement hypothécaire aient été reversés à l’Etat qui était venu à leur rescousse au plus fort de la crise de 2008, bien au-delà de l’aide reçu. Leurs actions ont chuté de plus de 36 %.