Sans se soucier de l’implosion de leur théorie de la responsabilité humaine dans le réchauffement global, des milliers de bureaucrates impliqués dans la lutte climatique des Nations Unies sont actuellement réunis à Lima, au Pérou, pendant deux semaines, pour continuer à imposer leurs régulations au monde entier.
L’accord de Lima sera adopté à Paris
Leur but est déjà atteint en fait, puisque les Nations Unies annonçaient cette semaine lors d’une conférence de presse que l’imposition de contrôles draconiens dans le monde était presque chose faite, et que ce sommet servait essentiellement à conclure le « nouveau traité universel des Nations Unies sur le changement climatique » qui « sera adopté » l’année prochaine, lors de la conférence sur le réchauffement global qui se tiendra à Paris.
Mais la réalité sera peut-être moins conforme à leurs souhaits puisque les sénateurs américains, qui doivent être deux tiers à voter un traité pour que celui-ci s’applique aux Etats-Unis, ont déjà affirmé que ce traité n’avait aucune chance de passer le Sénat.
Réchauffement global ou entrée en glaciation ?
Pendant ce temps-là, des scientifiques du monde entier remettent en cause les théories alarmistes du réchauffement climatiques, affirmant que la Terre pourrait entrer au contraire dans une longue période de refroidissement global…
Cependant rien n’arrête les idéologues. A commencer par la responsable « climat » des Nations Unies, Christina Figueres, qui a récemment affirmé que la Chine communiste et dictatoriale était un meilleur modèle que le gouvernement américain en matière de lutte contre le réchauffement global… et qui presse désormais les bureaucrates de finaliser ce « nouvel accord international »…
Cette même femme qui avait déclaré en 2012, lors d’un sommet sur le climat tenu au Qatar, que le combat climatique qu’elle mène était « une transformation complète de la structure économique du monde ».
Accompagnée d’une transformation sociale et suivie d’une transformation religieuse.