Une nouvelle étude menée par la TaxPayers’ Alliance (TPA) britannique montre que les 10% les plus pauvres de Grande-Bretagne dépensent presque la moitié de leurs revenus en impôts.
L’Etat spolie les pauvres de la moitié de leurs revenus !
Ils forment la population la plus touchée proportionnellement puisqu’ils dépensent exactement 47% de leurs revenus en impôts de toutes sortes : 13,9% de TVA, 7,2% d’impôts locaux, 5,6% de taxes sur l’alcool ou le tabac.
A l’autre extrémité de l’échelle, les 10% des plus riches dépensent 35% de leurs revenus en impôts, mais paient en moyenne 38.190 euros de plus en impôts qu’ils ne reçoivent en allocations.
L’étude montre que les Britanniques riches ont en moyenne des revenus 27 fois supérieurs aux plus pauvres, mais une fois que les impôts sont payés et les allocations reçues, ils ne sont plus que 5,4 fois supérieurs.
Un des porte-parole de la TPA commente : « Une grande partie de la rhétorique » qui consiste à dire que l’on veut « soulager les gens de tous les impôts » ou « s’assurer que ceux qui ont les plus larges épaules portent une large part du fardeau » repose plus sur la perception que la réalité. La « vérité c’est que ces impôts continuent à étouffer d’abord les familles pauvres, tandis que les familles les plus riches donnent bien plus d’argent au Trésor qu’elles n’en reçoivent à travers les services publics ».
Les familles les plus riches reçoivent en moyenne 6.300 euros de versements sociaux tandis que les plus pauvres en reçoivent 9.800.
Les pauvres victimes de l’impôt socialiste
Mais c’est bien pour les familles les plus pauvres que ces impôts sont les plus confiscatoires. Le socialisme est d’abord l’ennemi des plus défavorisés.
Mais au-delà des considérations financières, la fiscalité confiscatoire et la « redistribution » permettent à l’Etat de favoriser les comportements qu’il souhaite imposer, d’interdire pratiquement les autres et de mener des politiques nationales et internationales totalitaires.