Dans un excès de lucidité, en réalité guidé par un opportunisme politique dans la situation actuelle du pays, le Premier ministre Manuel Valls a déclaré devant l’Assemblée nationale que « la France est en guerre contre le terrorisme, le djihadisme et l’islamisme radical ».
Au même moment, la Maison Blanche refusait de se déclarer en guerre contre l’islam radical. A qui faire confiance ?