Elle sera inaugurée vendredi et doit servir au transport et au développement des énergies renouvelables, grâce à des records de distance, de tension et de puissance. Aérienne, la ligne aurait coûté sept fois moins cher – 100 millions d’euros au lieu de 700. Le système vise à jouer sur la complémentarité des productions des deux pays, chacun pouvant assurer la continuité lors des pics de demande décalés de l’autre. De tels dispositifs sont rendus nécessaires notamment par le caractère intermittent des énergies « renouvelables » mais non stockables : l’éolien et l’électricité d’origine solaire.