… et le caractère durable de nos écosystèmes est plus qu’une mission. C’est ma religion et mon dharma. »
C’est ce qu’a écrit le président du GIEC, l’Indien Rajendra Pachauri, dans sa lettre de démission présentée hier. Visé par une plainte pour harcèlement sexuel qu’il n’évoque pas dans cette lettre, le président a simplement affirmé que l’organisme avait besoin d’ « une direction forte ».