C’est un rapport confidentiel de l’armée espagnole qui l’a confirmé. Les tirs visaient un poste de l’ONU pris pour cible sur la frontière d’Israël avec le Sud-Liban, après que des tirs de mortier du Hezbollah eurent tués deux soldats de l’Etat hébreu. Un soldat espagnol a témoigné du fait que les tirs étaient systématiquement corrigés pour atteindre le poste de l’ONU. Un autre assure que les Israéliens ont utilisé des bombes à fragmentation.