« Car nous aurons dès demain des réfugiés climatiques et nous devons en être conscients. Nous ne devrons pas être étonnés ni stupéfaits si les premiers réfugiés climatiques arrivent en Europe ».
C’est ce qu’a déclaré le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker lors d’un discours, jeudi, sur la question de l’afflux massif de clandestins en Europe.
Il a ainsi justifié l’engagement acharné et coûteux de l’Union européenne en matière de lutte contre le « réchauffement global », contre toute réalité scientifique.