La controverse grandit en Italie après que le gouvernement, s’appuyant sur des décrets européens, a menacé de lourdes sanctions, voire même de prison, des journalistes qui refuseraient de suivre un agenda homosexuel dicté par les associations LGBT. Le projet a déjà dû affronter une sérieuse opposition venant de parlementaires ou d’organisations religieuses. Un député italien a fustigé ces ordres jugés « dictatoriaux ».
Ces obligations sont mentionnées dans un « guide pour une information respectueuse des LGBT » délivré par le Ministère de l’Egalité italien, dans lequel on trouve par exemple la recommandation de bannir tout débat concernant la problématique LGBT… Les journalistes sont menacés par le document, s’ils venaient à ne pas le suivre, de « perdre leur travail », et s’il était jugé que leur discours était un discours de « haine » des peines allant jusqu’à la prison – sans que le contenu de ce discours ne soit évidemment précisé·