Les rumeurs vont bon train dans les cercles de physiciens qui conjecturent sur le fait que l’observatoire terrestre américain LIGO (Laser Interferometer Gravitational wave Observatory) dont les capteurs sont situés à Washington et en Louisiane, aurait détecté ces ondes gravitationnelles. Selon la théorie de la relativité d’Albert Einstein, elles correspondent aux distortions de l’espace-temps produites par des cataclysmes tels que la fusion de deux trous noirs ou d’étoiles à neutrons.