C’est ce que recommande le British Medical Journal à travers un article sur les statistiques du bien-être et de la longévité chez les retraités et autres personnes de plus de 50 ans. C’est au cours des six premières années après le départ à la retraite que le bénéfice de l’appartenance à un ou plusieurs groupes « sociaux » est le plus net, le risque de mortalité étant diminué. Il est au contraire augmenté chez ceux qui cessent d’appartenir à ces groupes.