C’était il y a un an. Nisman venait d’accuser la présidente Cristina Kirschner d’avoir essayé d’occulter le rôle de l’Iran dans un attentat au camion piégé contre un centre judaïque de Buenos Aires. Sa mort par balle avait été présentée comme un suicide. Le procureur vient de recommander que l’affaire fasse l’objet d’une enquête pour meurtre.