En 20 ans, la seconde ville de Colombie, Medellin qui fut la capitale d’un cartel de la cocaïne, a transformé sa réputation et le quotidien de ses habitants. Connue pour être une des villes les plus violentes du monde à cause du narcotrafic, elle a réussi à diviser par dix le nombre d’homicides. Outre un système de transport largement amélioré, permettant notamment l’accès au centre ville des quartiers les plus pauvres, le remède est assez simple : une police omniprésente et intraitable. Il suffisait d’y penser. Et de le faire·