Elle a été taguée à l’encre rouge avec des slogans antichrétiens : « éducation laïque », « avortement libre » et autre signes féministes, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Les slogans ont été découverts au matin par l’aumônier. La porte de la chapelle avait été forcée.
Curieusement, l’archevêché de Madrid publié ces mots dans un communiqué regrettant l’incident : « En même temps que nous condamnons ces faits et que nous demandons qu’ils ne se renouvellent plus, l’université, les autorités et les moyens de communication sociale doivent obtenir que les groupes qui en sont responsables deviennent sans objet, en défendant la liberté qu’eux veulent éliminer. »