Le Portugais a obtenu le plus d’« encouragements » – 12 – de la part des 15 ambassadeurs au Conseil de Sécurité, devant l’ex-président Danilo Turk qui en a reçu 11, parmi les 12 candidats en lice. Rien n’est joué d’autant qu’un droit de veto est accordé à certains pays et que le « tour » de présidence favorise cette fois une femme d’Europe de l’Est, un profil taillé sur mesure pour l’ex-communiste bulgare Irina Bokova, actuellement à la tête de l’UNESCO. Guterres, Haut commissaire aux réfugiés, se contente d’être ancien Premier ministre socialiste du Portugal.
Il a joué un rôle de premier plan lors de la crise des migrants qui a explosé en 2015, faisant pression pour l’« accueil » des réfugiés ».
Guterres est également favorable à une taxe mondiale pour financer les « actions humanitaires » de l’ONU. Sera-t-il aussi engagé pour les « droits » LGBT que Ban Mi-moon ? On peut le penser, puisqu’il a milité avec son office des réfugiés pour le droit d’asile pour les « LGBT persécutés », ce que relève avec satisfaction un site « chrétien pro-gay » hispanophone.