Le milliardaire mondialiste Soros, qui avait prédit l’apocalypse aux Britanniques s’ils votaient pour le Brexit, a révélé son plan pour modifier l’UE dans l’espoir de réintégrer un jour les fautifs : « L’Europe est au bord de l’effondrement et doit être complètement réinventée… La nature même de l’Europe doit être mise à l’épreuve. » Soros affirme donc vouloir modifier les règles de l’UE afin qu’après quelques années de difficultés économiques, les Britanniques soient de nouveau tentés de la réintégrer, via un nouveau référendum. D’ailleurs, selon lui, la réintégration sera bien plus facile à réaliser que le Brexit…
Répondant à une interview du magazine allemand WirtschaftsWoche, le milliardaire a insisté sur trois points essentiels à ses yeux : « Premièrement, la distinction artificielle entre le statut d’Etat-membre de l’UE et celui de membre de la zone euro doit cesser. Les pays choisissant de ne pas utiliser la monnaie commune ne doivent pas être considérés comme des membres de second ordre. Deuxièmement, l’UE doit utiliser son excellente notation financière pour emprunter plus afin d’investir, et les Etats doivent coopérer davantage, comme dans le dossier de l’Ukraine qui souhaite appartenir à l’Europe. Et enfin, il faut une meilleure coopération pour traiter la crise des réfugiés… »
Le mondialiste Soros reconnaît la fragilité des banques européennes
S’exprimant sur le système bancaire, Soros a déclaré que « le système bancaire européen est moins solide et moins sain que celui des USA et de la Grande-Bretagne (…) L’état des banques italiennes est particulièrement préoccupant, mais les banques de dépôt allemandes ne vont pas très bien non plus. Et la Deutsche Bank est la banque commerciale la plus vulnérable. » Les banques centrales, le FMI et la Banque mondiale ont en effet créé les conditions d’une crise majeure attendue prochainement, qui serait pire que celle de 2008-2009. C’est l’une des raisons du choix des Britanniques en faveur du Brexit.
Quant à l’appel de Soros à un plan de « coopération pour traiter la crise des réfugiés », il faut y voir la continuité de ce qu’il prône depuis longtemps, à savoir l’ouverture des frontières. Fondateur principal de l’Institut de la politique migratoire, il s’est fait le chantre de la migration subversive depuis 15 ans, avec les Fondations Ford, Rockefeller et Bill et Melinda Gates, le Fonds Carnegie et autres affiliés à la constellation du CFR (Council on Foreign Relations, le très influent think-tank américain), tous partisans d’un gouvernement mondial.
Le plan de Soros anti-Brexit a pour but de faire revenir les Britanniques dans l’UE
George Soros et son fils Jonathan, qui gère une bonne partie de son empire, sont membres du CFR. Le Fonds de management Soros y joue un rôle clef et son réseau de fondations pour une société ouverte finance bien des plans globalistes du CFR. Les Britanniques et autres peuples qui tiennent à leur souveraineté peuvent donc se réjouir des « inquiétudes » de Soros quant à l’UE, suite au Brexit.
Soros souhaite-t-il réellement changer en profondeur les règles de l’UE ou son discours « novateur » masque-t-il un simple toilettage de l’UE destiné à la rendre plus attrayante et à ramener les Britanniques dans le giron de la superstructure européenne ?