L’activiste LGBT Bill Whatcott réclame 104 millions de dollars de dommages et intérêts à ce mouvement chrétien pour avoir distribué des plaquettes sur les risques physiques et spirituels liés au comportement homosexuel. Revêtus de costumes verts « seconde peau », ils avaient défilé lors de la Gay Pride pour mieux toucher le monde LGBT avec leur message.
Un ancien ministre canadien de l’Ontario, le premier à avoir revendiqué ouvertement son homosexualité, s’est associé à la poursuite afin de « faire tout ce qui est en notre pouvoir pour éradiquer ce type d’individu haineux », a-t-il expliqué.
Les « Zombies gays » s’étaient officiellement inscrits à la parade : les responsables pensaient qu’ils distribueraient des préservatifs mais en réalité ils donnaient aux participants des plaquettes montrant des images choquantes des conséquences des maladies sexuellement transmissibles, tels le sida ou les verrues génitales.
Les activistes gays les accusent aujourd’hui de mensonges. Mais ce qui est vraiment en question, assez de savoir si les homosexuels sont plus exposés à certaines maladies graves que les autres… Et alors, comment accuser ses militants chrétiens de vouloir du mal à leurs semblables ?