Human Rights Watch agresse un député hongrois à propos d’une tête de cochon

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Le directeur pour l’Europe de l’ONG gauchiste et mondialiste Human Rights Watch agresse violemment le député hongrois Gyorgy Schopflin pour un tweet où celui-ci proposait de planter une tête de cochon sur la barrière métallique qui marque la frontière hongroise. Les activistes du mondialisme bien pensant commencent à perdre la tête – et leur sang froid.
 
Tout a commencé par une betterave. Taillée en tête d’épouvantail, elle avait été placée sur la barrière métallique qui matérialise la frontière de la Hongrie en matière de plaisanterie pour « dissuader » les migrants envahisseurs de continuer leur voyage vers l’Europe occidentale. On se souvient que, dans ce qu’il est convenu d’appeler la crise des migrants, le gouvernement hongrois dirigé par Viktor Orban, chef de l’alliance démocratique hongroise (FIDESZ) a refusé la politique des quotas que l’Allemagne soutenue par Bruxelles prétendait imposer et a fermé sa frontière. Selon le gouvernement hongrois, 177.135 demandes d’asile ont été déposées en 2015, et 146 acceptées.
 

Human Rights Watch, officine de Soros et du CFR

 
Cette politique n’a pas eu l’heur de plaire à Andrew Stroehlein, journaliste belgo-britannico-américain, activiste des droits de l’homme, un garçon à la biographie mystérieuse et au profil de membre des services spéciaux, qui parle parfaitement, outre l’anglais, l’allemand, le français, le russe et le tchèque, qui a suivi sur le terrain la transition post-communiste en Europe centrale et en est un éminent spécialiste, et qui est aujourd’hui directeur de Human Rights Watch pour l’Europe. Il faut dire deux mots de cette organisation non gouvernementale. D’abord sur son objet social : sous le pavillon vague et flatteur des droits de l’homme, elle écoule une marchandise idéologique très typée : « droits » des LGBT, de l’avortement, abolition de la peine de mort, etc… Bref, imposition de l’humanisme anglo-saxon au monde entier. Ensuite, et les deux points sont liés, son financement et son encadrement. Le journaliste néerlandais Paul Treanor a établi que Human Rights Watch est une « entreprise conjointe de George Soros et du ministère américain des affaires étrangères ». Il aurait pu ajouter : et du mondialisme. En effet, de son propre aveu, Human Rights Watch a reçu 100 millions de dollars du milliardaire né Hongrois George Soros, et l’actuel président de son conseil d’administration est James F. Hoge, rédacteur en chef de Foreign Affairs, la revue du CFR, le Council for foreign affairs.
 

Le député hongrois et la tête de cochon

 
Donc, la politique nationale du gouvernement hongrois de refus de l’invasion n’a pas plu au directeur pour l’Europe de Human Rights Watch, Andrew Stroehlein, et il a pris texte d’une betterave sculptée en tête d’épouvantail pour lancer une polémique sur twitter : « Les réfugiés fuient la guerre et la torture : vos têtes en racines de légumes ne les dissuaderont pas ». Rien d’autres que la rhétorique classique et soviétoïde du lobby de l’immigration, les mots biaisés de « réfugiés », de « guerre » et de « torture », l’usage du pluriel pour la tête sculptée en betterave afin d’en exagérer l’importance, etc. Ce que voyant le député hongrois Gyorgy Schopflin l’a pris, très opportunément, sur le ton de la dérision, propre à montrer le peu de cas qu’on doit en faire. Voici le tweet de Schopflin : « Les représentations de l’humain sont haram (interdites par l’islam), mais, d’accord, une tête de cochon serait plus efficacement dissuasive ».
 

Human Rights Watch agresse au nom de la morale

 
Que n’avait pas écrit le malheureux ! Le voilà incontinent accusé de « débiter des obscénités xénophobes ». Et Andrew Stroehlein de l’interpeller violemment, sur le ton inimitable de l’inquisiteur puritain (il agresse, mais avec papelardise) : « Je me serais attendu à un telle sortie dans la bouche d’un perturbateur néo-nazi de base, mais vous êtes député. Comportez-vous en conséquence. » Et encore : « Vos paroles sont répugnantes (…) Vous êtes une honte pour la Hongrie, pour l’Europe et pour l’Humanité ».
 
Rien que ça ! Gyorgy Schopflin ne s’est pas ému autrement de cette tirade de mélodrame. Il est député de FIDESZ, le parti majoritaire du gouvernement hongrois. Retournant la rhétorique adverse, il a seulement noté que les invectives du patron européen de Human Rights Watch « commençaient à ressembler à un discours de haine ». Et il a bien entendu refusé de s’excuser, ce dont on lui faisait une obligation citoyenne, humaniste et républicaine. Vendredi, suite à l’assassinat du prêtre de Saint-Etienne-du-Rouvray qui l’a « choqué » et « perturbé » selon ses déclarations, un charcutier-traiteur au chômage âgé de 38 ans était jugé devant de tribunal correctionnel de Nancy en comparution immédiate pour « violences commises en raison de l’appartenance de la victime à une religion ». Condamné à six mois de prison avec sursis, il répondait du crime d’avoir déposé des lardons dans la boîte aux lettres de la mosquée et d’avoir « tartiné » la porte de cette boîte avec le reste des lardons.
 

Pauline Mille