L’organisme d’investissement affiche une perte de 52 milliards de dollars d’avril à juin, en raison de la chute de la bourse de Tokyo et de la montée du yen. Tous les gains réalisés par GPIF depuis octobre 2014, date à laquelle le fonds a décidé de revoir sa stratégie et d’investir davantage dans les actions dans les obligations étrangères ont été effacés.
La montée du yen a accentué les pertes sur les actifs libellés en devises étrangères, alors même que les actions domestiques perdaient 7,4 % de leur valeur.
Il s’agit du plus gros fonds de pension au monde, dans un pays frappé encore davantage que bien d’autres par le vieillissement et la dénatalité.