La violence raciale à la hausse à cause des contrôles aux frontières… dit un “think tank” financé par Soros

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Il fallait y penser ! Selon un rapport de l’Institute for Race Relations, la mise en œuvre de politiques de contrôle des frontières et de répression de l’immigration clandestine a provoqué une montée du « racisme », et même, une « hausse rapide de la violence raciale ». L’IRR fait partie du réseau de George Soros, Open Society Foundations, et à ce titre bénéficie du financement assuré par le milliardaire hongrois. Ce qu’il dit se résume en quelques mots : la souveraineté c’est le mal, la protection des frontières est à la racine du péché capital de notre temps, le racisme.
 
Autrement dit, ce n’est pas la transgression de la loi par des immigrés clandestins qui est mauvaise, mais ces lois qui en font des illégaux, par le fait même stigmatisés aux yeux des autochtones.
 

La violence raciale est imputable aux contrôles aux frontières

 
Selon l’Institute on Race Relations, c’est le Brexit qui est responsable d’une vague, voire d’une « explosion » de « crimes de haine » au Royaume-Uni – en France on parlerait de « racisme » au sens de la loi : « Quoi que signifie ou non le Brexit, ce qu’il signifie certainement, c’est le racisme ».
 
L’auteur du rapport, Jon Burnett, s’en prend aux médias qu’il accuse d’avoir minimisé le problème par leur manière de parler. Alors que le nombre d’incidents racistes rapportés a augmenté après le référendum, « encourageant la haine », des journaux ont à tort absous l’Etat de sa responsabilité, dit-il.
 
« Ce n’était pas simplement un “pic”, une “montée soudaine” ou une “série” d’incidents, comme le présente le consensus “mainstream”. C’est la manifestation littérale du climat politique qui le fait vivre », a-t-il déclaré, rejetant la faute sur le discours et l’action politiques.
 

L’IRR, un “think tank” financé par George Soros

 
Certes, le gouvernement britannique traque le « racisme ». Mais à travers sa politique parallèle de poursuites contre l’immigration clandestine, il en est lui-même responsable.
 
A y regarder de plus près, on s’aperçoit pourtant que même ce rapport n’arrive pas à dépeindre une situation aussi noire qu’il voudrait le faire paraître. L’IRR rapporte seulement 134 incidents de « haine », qui sont d’ailleurs d’intensité et de gravité très variable, se résumant souvent à des propos regrettables sans doute, mais qui ne rendent pas compte d’un climat de lynchage.
 
Il y a eu une attaque raciste sur un migrant sans domicile fixe perçu comme « improductif économiquement ». La faute à qui ? Aux mesures politiques visant à prévenir l’immigration de masse de groupes qui pèsent lourdement sur le portefeuille du contribuable britannique, répond l’IRR.
 

Soros veut faire croire que les frontières sont racistes, voire nazies

 
Le gouvernement est également coupable d’avoir prôné ou mis en œuvre des exigences sur la vérification du statut légal des travailleurs migrants, une stratégie de prévention du terrorisme et – cerise sur le gâteau – la déclaration du Premier ministre David Cameron en 2011 condamnant « l’extrémisme islamiste ».
 
Il n’en faut pas plus pour que l’organisme financé par Soros accuse le gouvernement britannique d’avoir mis en place « une idéologie étatique du “nativisme” » : « En plaçant la question du racisme et de la violence raciale, qui ont une base sociale, sur le terrain de la loi et de l’ordre, le gouvernement occulte sa complicité dans la création d’un racisme d’Etat », affirme la préface du rapport.
 
En deux mots : protection des frontières = nazi. Et le terrorisme islamique ? On oublie…
 

Anne Dolhein

 
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