L’ancien arrière de football reconverti depuis quinze ans en porte parole du politiquement correct a découvert les favelas de Rio et le caractère stratifié de la société brésilienne. Bravo pourrait-on dire, ça lui évitera de colporter, en usant de jugeote et de comparaison, des sottises sur la France. Hélas, il développe là-bas comme ici un discours de lutte des races et de dynamitage social.
Comme si sa notoriété sportive n’avait servi qu’à lui donner un statut de révolutionnaire efficace…