Et c’est une bonne nouvelle ? Mme Merkel, acculée par les résultats mitigés qui ont conduit à sa réélection, a consenti à cette limite dont elle ne voulait pour les besoins de ses négociations pour former un gouvernement.
Le CSU de Bavière et le CDU que dirige le chancelier se sont mis d’accord sur ce chiffre déjà faramineux. Mme Merkel s’est dite heureuse de ce « compromis », ajoutant que chaque demande relative « au droit fondamental à l’asile » continuera d’être traitée.
De fait, le chiffre sur lequel les négociateurs se sont mis d’accord est sujet à modification et pourra être revu à la hausse en fonction du nombre de demandeurs d’asile… Ceux-ci seront désormais rassemblés dans des grands centres à construire où ils devront rester, le temps de voir leurs demandes traitées par l’administration.
200.000 par an ? C’est déjà énorme…