Le cinéma indien a un impact considérable sur la population qui se rue sur les derniers films et leurs produits dérivés. Un impact qui se traduit en poids culturel et moral – et qui dernièrement, s’est mis au service de la « gestation pour autrui ».
Aamir Khan, superstar en Inde, l’un des acteurs les mieux payés et les plus aimés du pays, vient ainsi de raconter comment lui et sa partenaire Kiran Rao ont eu leur premier enfant grâce à une mère porteuse – des confidences saluées comme courageuses par les médias qui l’ont félicité d’avoir levé le « tabou » sur la question.
Comme l’a dit un article : désormais, davantage d’Indiens seront prêts à envisager cette option « ouvertement et fièrement ».
Et Aamir Khan n’est pas seul. De moindres étoiles de Bollywood font leur « coming out » dans ce domaine.
Tout cela est caractéristique de la culture de mort : manipuler l’opinion par le monde du spectacle et des médias, pour faire appeler bien ce qui est mal. Ce n’est pas par hasard qu’on parle de « fierté » – Gay Pride, fierté d’avoir choisi l’avortement ou le recours à une mère porteuse… – il s’agit bien d’orgueil, ce péché capital par lequel l’homme veut se faire dieu à la place de Dieu.