Les psychologues des hôpitaux sont inquiets. Valls a annoncé 10 milliards d’économie sur la Sécurité Sociale et les 10.000 psychologues hospitaliers, qui craignent d’en être victime, se sont mis en grève. Leurs revendications : hausse des salaires et fin de la précarité.
On ne pleurera pas sur une profession qui assure une part importante du contrôle social et psychologique de la population, particulièrement de sa composante la plus fragilisée, et qui véhicule souvent les pires aberrations morales. La chute de la pratique religieuse et la perte de la foi ont déraciné les hommes. Ils ont de plus en plus de mal à supporter une vie rendue toujours plus difficile par les révolutions en cours. C’est alors qu’interviennent les psychologues, sans pouvoir remplacer Dieu naturellement.
Les psychologues hospitaliers réclament une revalorisation des salaires : à bac plus 5 un psychologue contractuel gagne environ 1.400 euros. Un signe de la paupérisation de la France due à l’ouverture des frontières. Un signe également de la perte de valeur des diplômes et de la faillite de l’Education nationale. On relèvera la démagogie des syndicats qui continuent à exiger une hausse des salaires et des titularisations rendues impossibles par la politiques mondialistes que suivent tous les gouvernements et qu’ils défendent.